L’Observatoire des Achats Responsables (OBSAR) met l’accent sur la RSE

La Matinale du 6 mars de l’Observatoire des Achats Responsables mettait l’accent sur la RSE comme moteur des bonnes pratiques des relations entre clients et fournisseurs dans l’univers des PME.

« Il faut y aller ! »

 
Pierre Pelouzet , Président de l’OBSAR.
Alain Chatenet délégué général de l’Obsar pilotait cet événement co–organisée avec CCI France et CGPME . Bon nombre des adhérents de l’Observatoire COM MEDIA participaient à cette manifestation, comme Virginie Fillon, Christine Lancesseur, Dominique Burnel, Sébastien Calard, Roland Donzelle et Jean Marc Barki , toujours prêts à contribuer à l’optimisation de cette relation donneurs d’ordres et prestataires.
Les deux heures et demie de débat passèrent en revue au travers de multiples témoignages (GRANDDE en Normandie, TF1, Bouygues, Sealock, LBF et Purodor, etc.), tous les aspects de cette dynamique que se veut être la RSE, dans cette relation souvent complexe entre donneurs d’ordres et prestataires,
Alain chatenet rappellera en synthèse tous les éléments mis à disposition des PME , plateforme d’initiatives, annuaire de bonnes pratiques, guide pour comprendre les achats responsables, etc. Un dispositif fort et cohérent managé par toute l’équipe de l’OBSAR.
Devant cette palette d’outils tous plus performants les uns que les autres pour développer les achats responsables qui d’après l’étude de la CCI sont pour 45% dans la vision des dirigeants, Pierre Pelouzet, en président de l’OBSAR, conclut d’une phrase : « il faut y aller »  la RSE est un enjeu de compétitivité pour les entreprises françaises et c’est aussi et surtout une affaire d’hommes et de femmes sur le terrain au quotidien.
OBSAR
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L’Observatoire COM MEDIA regroupe, depuis 2008, près de 300 acteurs de la filière de la communication (annonceurs, prestataires et institutionnels). L’association a matérialisé son positionnement autour des enjeux de la nouvelle économie de la communication. Les travaux réalisés portent sur le décloisonnement des métiers/secteurs, sur la structuration de la filière (constituée de 41 000 entreprises réparties en 19 secteurs d’activité) et sur l’accélération du business des entreprises par leur mise en relation entre les acteurs à travers des événements, des groupes de travail et des plateformes numériques.

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