Le onzième workshop « Comment booster sa visibilité locale sur Google et les réseaux sociaux ? » s’est déroulé avec Julien Wolff , co-fondateur chez Pix.city et Jérémy Henache, expert marketing local chez Agence Measy.
Julien Wolff de Pix.city expliquait que pour améliorer sa visibilité digitale locale, il est possible, pour une marque comme pour un commerce, d’activer deux leviers : Google et les réseaux sociaux. Rentrent en scène plusieurs critères comme l’influence, le community management, la publicité et le référencement local.
Reste ensuite à déterminer les objectifs d’une campagne de visibilité. Cherche-t-on à attirer des nouveaux clients ? A fidéliser ceux existants ? A les inciter d’essayer un produit puis à le recommander ou bien à intégrer une offre de service dans leur routine quotidienne ou pour une occasion exceptionnelle ?
Pour éviter de dépenser son budget pour rien, il convient de prioriser ses cibles et de déterminer clairement ses attentes.
Il réside notamment un grand défi pour acculturer les enseignes à l’importance de la communication locale et de l’efficacité de Google. Les attentes vis-à-vis des réseaux sociaux sont souvent mal exprimées, les enseignes attendent des résultats très rapides alors que la notoriété demande un travail de fond sur le temps. Il est alors possible de diffuser des annonces mais cette approche plus « ROIste » demande un budget complémentaire.
Jérémy Henache de Measy confirmait qu’il est nécessaire d’acculturer les commerces et les enseignes aux possibilités offertes par ces outils au service de l’influence locale. Sur la partie influence, il y a un énorme travail de découverte et de test-and-learn auprès des commerces locaux.
Il expliquait durant cet atelier comment concilier notoriété, drive-to-store et analyse des communications. Il est alors nécessaire de structurer sa stratégie de communication et d’être accompagné pour mixer au mieux les supports et investir utile.
Retrouvez l’intégralité de l’atelier (+/- 15mn), sur cette vidéo. Les autres intervenants sont accessibles également sur la chaîne Youtube de l’Observatoire COM MEDIA.