Les chatbots Vizir libèrent vos équipes des tâches à faible valeur ajoutée

Comment et pourquoi votre société ?

En 2013, nous fondions lesmartweb.fr, une agence digitale pour les TPE. Nous avions le sentiment que les Chatbots pouvaient changer en profondeur la façon de travailler d’un certain nombre d’industries, comme l’expérience client et ou les process internes.
C’est en 2016 que nous avons fondé Vizir.co. Les 18 premiers mois ont principalement été dédiés à la R&D. Il nous fallait pousser les limites des technologies déjà existantes afin d’être capable d’automatiser des tâches assignées aux humains.

Quelle est l’offre de votre société, son activité ?

Vizir est une application web qui permet aux entreprises de créer et gérer des robots conversationnels qui automatisent le travail humain.
Nos clients, PME ou grands comptes, souscrivent à notre produit pour libérer leurs équipes de tâches chronophages à faible valeur ajoutée. Ils peuvent par exemple créer des robots pour automatiser leur support informatique, leurs process de recrutement ou encore la création de contrats.

Comment s’inscrit votre société dans son marché et ses points différenciants ?

Selon l’OCDE, 46% des emplois seront remplacés ou profondément modifiés par l’automatisation d’ici 2030. Cela signifie que nous nous dirigeons naturellement vers une automatisation d’une grande partie des activités aujourd’hui encore réalisées par des humains.
Par ailleurs, les populations, et particulièrement les nouvelles générations, demandent de manière croissante d’accéder à des services directement depuis des messageries instantanées. Du côté des marques, elles cherchent de plus en plus à créer une relation personnalisée avec leur communauté et leurs clients.

C’est pour répondre à ces nouvelles demandes, qui prennent de plus en plus de place sur le marché, que nous proposons des nouvelles technologies facilitant l’automatisation de ces process. Avec Vizir, nous nous concentrons sur la capacité des robots à gérer des conversations longues avec un objectif précis, comme créer un contrat.
Nous travaillons par exemple avec BNP Paribas pour aider les entreprises clientes à créer des contrats de garantie bancaire. Cela permet aux juristes, professionnels rares et très qualifiés, de concentrer leurs efforts sur les contrats plus complexes. Les clients, de leur côté, disposent de leur contrat en quelques heures. Cette démarche prenait plusieurs jours auparavant.
Ce genre de cas d’usage nécessite de récolter un nombre important d’informations dans la conversation avant d’effectuer la tâche souhaitée. Plus la conversation est longue, plus les scénarios possibles sont nombreux. Cela nécessite donc une technologie spécifique de gestion de conversation non scriptée, capable dans la durée d’interpréter des réponses en fonction du contexte.

Quelle est votre relation de votre société avec l’Observatoire COM MEDIA et la nouvelle plateforme d’innovation et de co-création ?

Nous sommes en relation avec l’Observatoire COM MEDIA depuis les débuts de notre aventure. C’est pour nous d’une source d’informations précieuses et l’intermédiaire idéal pour rencontrer des experts dans leur domaine grâce notamment à leur événement annuel Les Chemins de l’Innovation.
L’association met aussi en place des actions concrètes comme le dispositif 1000 emplois 1000 entreprises grâce auquel nous avons recruté deux personnes, maintenant en CDI dans notre structure.
Nous sommes ravis que l’association ait réussi à matérialiser leurs services et leur partage de savoir-faire et d’expériences au travers de la plateforme d’innovation. C’est devenu pour nous une source d’information majeure dans notre veille constante, nécessaire dans notre industrie.

Vizir est sur la plateforme d’innovation et de cocréation de l’Observatoire COM MEDIA.

About the Author

L’Observatoire COM MEDIA regroupe, depuis 2008, près de 300 acteurs de la filière de la communication (annonceurs, prestataires et institutionnels). L’association a matérialisé son positionnement autour des enjeux de la nouvelle économie de la communication. Les travaux réalisés portent sur le décloisonnement des métiers/secteurs, sur la structuration de la filière (constituée de 41 000 entreprises réparties en 19 secteurs d’activité) et sur l’accélération du business des entreprises par leur mise en relation entre les acteurs à travers des événements, des groupes de travail et des plateformes numériques.

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