Vers une plus grande interaction entre grands groupes et start-ups

Une fois le constat des avantages indéniables d’une plus grande interaction entre les grands groupes et les start-ups, force est de constater que leurs cultures d’entreprise semblent s’opposer mais que leurs objectifs se rejoignent face à la nécessité commune de combiner innovation et agilité dans une optique de partage des compétences et d’optimisation des moyens vers une mise en œuvre des solutions qui soit plus rapide. Les modèles de coopération diffèrent et apportent chacun leur lot d’avantages et d’inconvénients. Le grand groupe peut être un donneur d’ordres et la start-up, un sous-traitant traditionnel ou bien il est à la fois un client, un fournisseur de besoins et un testeur des solutions sur mesure apportées par la start-up. Un grand groupe peut choisir de s’’engager avec des start-ups dans une démarche gagnant-gagnant pour innover et développer de nouvelles offres ou bien souhaiter investir dans une start-up, acquérir des parts voire la racheter pour intégrer ses innovations dans son panel de solutions. Une relation avec un grand groupe se résume-t-elle toujours à un rapport de force, ou peut-elle se transformer en une collaboration mutuellement profitable ?

La réalité des différents modèles de coopération seront détaillés par les intervenants à la table ronde « Modèles de coopération start-ups/grands groupes » lors des Chemins de l’innovation #3 qui se tiendra le 17 mai prochain à l’ESCP Europe. 

Infos et inscription : http://obs-commedia.com/event/